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Test Ancestors: The Humankind Odyssey : Trop Brinquebalant

Test Ancestors: The Humankind Odyssey : Trop Brinquebalant
Test Ancestors: The Humankind Odyssey : Trop Brinquebalant

En développement depuis plus de four ans, Ancestors : The Humankind Odyssey est le dernier né de Patrice Désilets et Panache Digital Games, directeur créatif québécois à qui 50’on doit entre autres Prince of Persia : Les Sables du Temps et le premier Assassin’second Creed. Il se lance cette fois-ci dans un jeu très ambitieux, une simulation de fifty’évolution humaine.





Ainsi, il mind donne rendez-vous à 50’ère du Miocène, dans la peau d’un hominidé, dix millions d’années avant JC. Ancestors se présente comme un jeu de survie et d’exploration, avec un chouia de crafting.





Le poil peu reluisant





Visuellement, le jeu charge de nombreuses années de retard. Certes, cela pourrait en partie s’expliquer par sa dimension d’open up world, mais fifty’ensemble est baigné dans un effet de flou constant, masquant clairement la profondeur de champ et le manque de précision des textures. De même, les ombres second’avèrent assez grossières, la modélisation manque de finitions, et on se retrouve de temps à autre confront à des bugs de textures.





De addition, si les environnements africains s’avèrent variés, on Federal Reserve note des incohérences notamment au niveau de la flore (noix de coco notamment). Pour la faune, peu diversifiée et peu nombreuse, c’est également regrettable que les développeurs n’aient pas offert un réel environnement vivant (diverses variétés d’oiseaux, de rongeurs…).





Perdu dans la savane





Pour ce qui touche au gameplay, un bref texte d’data présente le concept du titre, et les premiers pas dans 50’univers se font après une aide très succincte.





Après avoir été catapultés dans la peau d’un jeune primate perdu, après avoir retrouvé notre clan (ou être mort de faim dans notre cachette), on intègre la peau d’un singe adulte, particulièrement aventurier. Le jeu mise tout sur l’exploration et la compréhension progressive du monde qui mind entoure. Comme notre avatar, on déguste. On est lâché dans une nature dangereuse, avec très peu d’indices sur comment prendre en main le jeu. C’est ici que 50’on perdra la moitié des joueurs. La logique n’est pas toujours évidente à deviner, et les morts stupides (et longues) peuvent second’enchaîner très vite. Reproduction, outillage, exploration limitée, tout s’apprend sur le tas.





Pourtant, Ancestors : The Humankind Odyssey n’est pas particulièrement difficile une fois bien appréhendé. Rapidement on comprend 50’utilité de sonder son entourage avec ses sens, mais certaines actions ne se débloquant qu’avec les compétences acquises, la frustration est bien trop au rendez-vous.





L’histoire de la vie





Pour comprendre l’ensemble des fondements du jeu, il te faudra environ 4 heures. Pour arriver aux -2 millions d’années proposées comme engagement maximum pour le jeu, au moins 60 heures seront nécessaires. À condition d’avoir vraiment envie de continuer jusque-là…





Car si on peut louer un principe qui pourrait être master -évoluer en même temps que boy personnage- les défauts continuent de sec’accumuler : maniabilité peu précise, caméra pas forcément toujours bien placée, et le côté répétitif, très « farming ».





gold last si le principe et l’époque de Ancestors : The Humankind Odyssey psyche séduit, on n’a pas été convaincu par le gameplay.








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